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MakeSmile

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Barney y vole coliss pis aladin la, il trompe sa femme avec le génie! mais vous comprenez pas ! Les téléphones c'est pas fait pour élphélant mais pour les truie, mais oui c'est comme un dildo pour eux !!


. Unpeu d'imagination. (: . x.

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Le bonheur est loin encore.

Le bonheur est loin encore.Prologue.


Je poursuis ma vie, celle qui n'as pas vraiment de but. Une vie vide mais remplit. Remplit de mauvaise chose. Peut-être qu'un jours le bonheur apparaitra sous mes yeux comme une pétale de rose parfumer. Pour l'instant cette fleur ne me montre que ces épines douloureuses. Je garde des parcelles d'espoir. Tout n'arrive pas pour rien. Qui sais ce que l'avenir nous réserve.
Un jour, je sais bien, j'espère bien. Des ailes me pousseront au dos et je m'envolerais vers le soleil quitte à me brûler. Un jour, l'odeur amère de la vie deviendra sans doute sucré et douce.
Des roues pour voyager voilà ce qu'il nous fallait. Du courage et des roues.
Mais même après cela je doute que le bonheur, l'extase m'aparaitrais. Cet état de joie constante ne me sera donné qu'à ma mort, je crois. Pour l'instant, je continuerai d'endurer tout, même si je dois la laisser partir sans moi.
Saine d'esprit, je dois rester saine d'esprit
.




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Pour faire connaitre votre fiction faut aller aux :

RÉPERTOIRE.
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#Posté le samedi 20 février 2010 09:32

Modifié le dimanche 20 février 2011 12:30

Court chapitre 1.

Court chapitre 1.Il est la. Je l'entends monter les escaliers. Doucement, lentement. Je sais ce qu'il s'apprête à faire, je le sais parfaitement. Chaque mois, c'est la même chose. C'est le tour d'Emily cette fois-ci, à moins qu'il ne veuille voir mon corps. Emily, elle n'écoute pas le loup (oui parce qu'il grogne!). Quant on ne l'écoute pas, il déteste ça, alors il nous fait mal. Moi, puisque je n'aime pas voir le sang, je suis obligé de l'écouter. Sa y est, il a parlé :

- Émiiily, c'est ton tours.

Il chante en nous appelant, comme dans un film d'horreur ou le méchant s'apprête à faire un meurtre, vous voyez le genre ?
Sa commence, la nuit de terreurs commence. Mes larmes coulent déjà. Je n'aime pas quand c'est le tour de ma s½ur. Je n'arrive pas à dormir parce qu'elle ne cesse pas de crier.
Voila :

-Non! Espèce de con, laisse-moi tranquille! Non ! MERDE, J'AI DIT NON!

- Ha ha, Ma belle Emily, calme toi voyons, tu aimeras j'en suis sure.

-Non ! Va-t-en !

- Pourquoi tu as mis un pantalon ? J'ai bien dit ce matin que je voulais que tu mettes une jupe !

Elle ne l'a pas écouté, il va la frapper. Je ne veux pas entendre un mot ni un bruit. Je me sens si impuissante, tellement inutile et faible. Je me bouche les oreilles, mais ma s½ur cri trop fort, alors j'entends quand même, au moins, le bruit est atténuer.
Ma mère me chantait des comptines que j'adorais quant elle était vivante. Elle chantait si bien, on aurait dit un ange envoyé par dieu. Emily me dit que j'aurais sa voix quant je serais grande. Elle dit aussi que maman et papa son vraiment des anges, et que quand je chante, ils sont à coter de moi, a m'écouter, a sourire. Alors, je chante toujours. Le matin, le midi, le soir, toujours. J'adore ça et Emily sourit quand je chante et voir ma grande s½ur sourire, me fait sourire et quant on sourit, on oublie toute nos tristesses.


C'est fini. Ma s½ur à cesser de crier, et lui, il a arrêté de grogné. Il descend en bas surement pour dormir. Elle pleure. Je l'entends pleurer. Je vais aller la voir pour la réconforter. Je vais lui chanter des comptines pour qu'elle s'endorme. Je cogne doucement a sa chambre pour ne pas que le monstre entende :

-Toc, toc, toc.

En chuchotant:

- C'est Stéphanie.

- Attends ! N'entre pas tout de suite.

- Pourquoi ?

- Il y a du sang partout ma belle.

Une chance que j'ai cognée.

- Je me nettoie sa ne sera pas long, tu as peur ?

Pour être franche, j'avais peur en permanence dans cette maison. Mais elle voulait certainement dire, plus que d'habitude.

- oui.

- Va dans ta chambre, je te rejoins.

J'y vais de ce pas. Il ne faut pas qu'il sache qu'Emily et moi on dort ensemble, si non, il nous punira. Il nous a interdit de dormir ensemble. Mais, ça fait quatre ans qu'on habite ici, alors on sait bien comment s'y prendre. Demain, il y a l'école. Je ne suis pas très apprécier de mes camarades, faut avouer que j'ignore les gens qui m'adresse la parole. Chaque fois qu'une personne me parle, je fais comme s'il n'existait pas, du coup, il me parle plus. Je suis en sixième année. Je suis censé être en cinquième, mais je suis plus intelligente que les gens de mon âge. Il le faut, parce que, si non, je ne trouverais pas un bon travail et je ne pourrais pas payer l'appartement que ma s½ur aura avec elle et je serais prise avec mon oncle, seule. La note la plus basse que j'aie eue était 91% et je n'arrêtais pas de pleurer. Ma s½ur aussi est comme moi, elle ne parle a personne et elle a toujours des 100%(il y a des fois ou elle a des 98%, mais on ne peut pas être parfait!). Sa y est, elle a terminé.

- Steph, je suis la, laisse moi une petite place, j'ai emmené ma couverture.

Je me pousse un peu et lui laisse suffisamment de place pour qu'elle soit bien.

- C'était plus dégoutant cette fois ?

- Oui, cette fois, il l'a fait au complet, j'ai perdu...Ma...

Elle recommence a pleurer. Sa me fait pleurer aussi. Je sais bien ce qu'elle a perdu.

- Ma virginité.

Je le savais. C'est un pêcher, dieu nous oblige à être marier avant de faire l'offre de chair. Mais elle ne la pas offert, elle se l'ais fait volé.

- Dieu n'ait pas fâché contre toi.

- Stéphanie, chante.

Je lui chante la même chose que j'ai chanté tout a l'heure. Et elle s'endort en larme.

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#Posté le samedi 20 février 2010 14:09

Modifié le dimanche 20 février 2011 12:33

Chapitre 2 (Refait)

Je suis dans la voiture. Papa et maman m'emmene a la ronde. J'ai tellement hate ! Je vais faire pleins de manèges. Avec papa la grande roue, avec maman les tasse de cafés. Papa aime pas la ronde, sans tylénole, il ne peux pas faire de manège. Il dit que juste d'entendre le mot ''ronde'' le fait vomir. D'ailleur... Esque j'ai pensé à emmener des tylénol ? Oh non !

-Papa, J'ai fait une gaffe...

-Quoi mon ange ?

-J'ai oublier les tylénol a la maison.

Il se tourne vers moi.

- Oh non, je t'avais dit de les emmener pourtant !

Maman commence a criée :

-MARC !!



Je me réveille en sursaut et en sueur. Je déteste faire ce rêve. C'est une torture de revivre ce moment que j'aurais souhaiter oublier plus que tout au monde. Le soleil est levé, sa fait du bien. Je peux sentir sa chaleur réchauffer ma peau glacé. Émily m'a enlevé ma couverture pendant qu'elle dormait. Je lui es laisser, après ce qui s'est passé hier, je n'avais pas le c½ur de lui enlever ma couverture. De toute façon, il ne faisait pas si froid que ça. Je doit la réveiller pour aller a l'école. Les retards, on en a jamais eu.

- Émi. réveille toi, c'est le matin.

Elle s'assoit sur le lit, sans dire un mot. Je peux apercevoir toutes les équimoses et les blessure que le monstre a pu lui faire. Une chance que le sang sécher ne me fait aucun effet. Émily regarde le soleil. Elle aussi l'adore. Après tout, c'est la seule lumière qu'on a la capacité de voir.

- Aide moi a me lever steph.

Elle a de la difficulté a marcher, le loup n'a pas été doux avec elle. Sa a surement été très douloureux la pauvre.Je l'amène a la douche, elle enlève ses vêtements. Horreur. Il y a du sang sur ses cuisses et sa partit intime. Je sens frissons me parcourir lentement tout le corps. Sensation que je déteste.

- Stéphanie, tu as peur, je suis désoler.

- Non, ce... ce n'... est pas... ta faute...

- Je peux me débrouiller, va a l'école sans moi.

J'acquiesce mais je ne part pas a l'école tout de suite, je ne peux quand même pas abandonner ma s½ur! Sa ne ce fait pas. Je lui choisis des vêtements confortable. Émily est une adepte de la mode. Bizarre, mais c'est une de ses passions. Quant elle est a la maison, ma s½ur passe son temps a faire des croquis. Elle a déjà suffisamment de tissus, mais pas de machine a coudre, je suis certaine que si elle en avais une, elle ferais la plus belle ligne de vêtement jamais exister. Ma soeur est belle, cheveux bruns vaguer avec des yeux d'un turquoise. Ses lèvre sont pulpeuse et douce. Elle est grande et a pile les formes qu'il faut pour faire baver les garçons. Tout le contraire de moi. Je suis chataine blonde, J'ai les cheveux très fin, je suis petite, mes lèvre sont Demi fine, demi pulpeuse, et ma poitrine n'existe pas, enfin pour le moment... La seule chose que nous avons en communs est la couleur de nos yeux, turquoise.

Je lui apporte de quoi mettre et elle a sembler toucher que je ne parte pas a l'école.

- Merci de rester.

- de rien, habille toi, on va être en retard !


---------- ---------- ---------- ---------- ---------- ---------- ----------


Première période d'école.

C'est tellement ennuyant. Le professeur prend beaucoup trop de temps pour expliquer un truc sans importance. Je sais bien qu'il y a des gens qui comprennent moins rapidement que d'autre, mais quand même ! Une demi heure pour expliquer un numéro, il sont pas retardé les gens dans ma classe ! Quoi que...
J'ai entendu dire qu'un garçon qui vivait en Bosnie est venu s'installer ici. Il sera nouveau dans la classe. Je me demande bien à quoi ressemble les gens en Bosnie. J'ai jamais entendue parler de ce pays. Esqu'il sera joli garçon ? Ah... Je devrais arrêter de me faire des idées, après tout il risque de me lancer des bouts de papiers sur la tête, comme tout les autres.

Toc, toc, toc.

Sa doit surement être lui. Il fait sont entré dans la classe. Oh, il est, comment dire, plus beau que je ne l'imaginais... Il est blond foncé. Ses yeux sont ténébreux, brun si foncé qu'on pourrais se perdre dedans et ses lèvre sont magnifique. Il est beau. Je sens des frissons (agréable cette fois) me parcourir le corps. Mais, je n'ai aucune chance alors, j'enlève mon regard de son visage et je commence a gribouiller des truc sur une feuille de papier.

- Bonjour, je me nomme Luka et je viens de Bosnie.

Même le professeur semble troublé par sa beauté...

- Alors, soyez tous gentil avec Luka. Ta place sera a l'avant.

Puisque je suis au fond, je n'aurai pas de problème de concentration par cause de beauté supérieur a la normalité. Non, la je ne verrais que son dos, donc je n'ai plus rien a craindre. Je suis soulager mais déçu a la fois.

- Non, madame, pardonné moi, mais je désir être placé au fond, à coter de cette belle jeune fille.

Attendez la, c'est moi qu'il pointe ! Eh, mais je n'ai rien d'une ''belle jeune fille'' ! Oh non, je me sens rougir. Mais c'est quoi cette blague. Bon, je respire, tout va bien aller, ce n'est qu'un humain. Je vais l'ignorer. Voila.


J'ai refait le chapitre y a des changements.
C'est mieux ?
Vous trouver comment ?
Je continue ?
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#Posté le lundi 22 février 2010 18:04

Modifié le mardi 23 février 2010 20:00

Chapitre 3

Sa y est, il est assis à coter de moi. Si près, j'ai envie de le regarder, de voir s'il a un petit défaut. Mais je ne le ferais pas, pour la simple raison qu'il risque de me voir le regarder et que ça montrerais mon attirance envers lui. Mais, de quoi je parle, quelle attirance ? Après tout, il doit bien y avoir un faille dans son apparence parfaite et sa politesse, oui peut-être qu'en réalité il est un mort-vivant ayant l'apparence d'un jeune et beau garçon de mon age! En vrai, il est vieux et laid.

-Tu as de très jolie cheveux.

Il parle de mes cheveux ?On dirais qu'il a vécu dans l'ancien temps, maintenant les garçons sont censé être impolie, limite insolent. Mais c'est la première fois depuis que mes parents sont morts qu'on me fait un compliment, je dois avouer que ça fait un bien fou. Je ne répondrais quand même pas, pourquoi ferait-il exception a ma règle (Je ne parle a personne au risque de me déconcentrer dans mon travail.).

Il attend que le professeur regarde ailleurs et dit :

- Bon, alors si tu ne veux pas me parler, je te parlerais seul, j'ai aucun problème avec ça.

Pff. Je m'en fiche si il me parle, moi je l'ignore et je n'entends rien.

-Tu ne connaissais surement pas la Bosnie, personne ne connais mon pays. Tu veux la connaitre ?

J'avais une grande envie de dire oui, mais je me suis retenue. Si il veut jouer a ce jeu la, je serais la plus forte!

-Je ne vois pas d'objection alors je prend ça pour un oui. Alors, les gens de la Bosnie sont...

-Stéphanie! Cesse de parler avec le nouveau garçon, c'est impolie de parler en même temps que moi, votre professeur!

Quoi !? Mais, pourquoi moi, c'est lui qui n'arrête pas de me parler! Ce n'est pas juste.

-Désoler madame Françoise.

J'ai du me serrer les poings pour lui demander pardon, après tout, je n'avais rien fait.


Le reste de la période il a arrêter de parler. On aurais dit qu'il se sentait coupable du fait que ce soit moi qui ce soit fait gronder alors que s'était de sa faute. Au moins, il avait compris sa leçon! Il ne doit pas me parler, c'est surement ce qu'il fera a l'avenir. Je suis débarrasser de ce parasite dangereusement attirant.
Je suis a mon casier pour prendre ce qu'il me faut pour le cours qui suit. Je vais en musique, mon cours préférer. En classe nous faisons une chorale. Les gens me respecte dans ce cours, alors je ne suis jamais gêner de chanter devant eux.

-Écoute, je suis désoler, tu tes fait gronder a cause de moi.

Je me retourne et ce que je vois ma... Disons, étonné. Monsieur le parasite sexy était a genou avec une rose blanche a la main. Ses excuse avait l'air, un peu trop sincère. Je suis rester figé, ne sachant pas si je devais lui répondre et perdre au jeu ou bien l'ignorer en l'humiliant pour qu'il ne m'adresse plus jamais la parole, ce qui ferais de moi la gagnante. Mes rougeur revenais, j'étais, gêner, intimider, humilier ? Je ne sais pas, mais une chose est sure, ce garçon n'est pas du tout normal.
Je prit sa rose blanche pour lui montrer que j'avais accepter ses excuse, mais je ne lui parla tout de même pas. J'avais seulement hâte qu'il s'en aille.
Il ma regarder avec un sourire en coin et des papillons se sont mis a virevolté dans mon ventre. Chose que je n'avais pas ressentit depuis bien longtemps...

Le reste des mes cour se sont passé très bien. Enfin, il faut dire que je n'écoutais plus du tout mes cours. J'avais la tête dans les nuages a cause de lui. Il est bizarre. Il a quelque chose a cacher, c'est certains. J'ai envie de découvrir de quoi il s'agit. Je veux aussi savoir la raison pour la qu'elle ce n'est que moi qui a le droit a son attention, j'ai été froide, voir méchante et impolie avec lui. Alors, pourquoi s'entête-t-il a vouloir me parler. Les autres fille sont de loin plus jolie que moi ! Elles sont plus sociale et ouverte aussi.

c'est la fin des cours, mais je rentrerais a la maison qu'au coucher du soleil. Émily entre toujours tard après l'école et je nais pas du tout envie d'être seule avec le monstre. Je vais aller au parc. J'adore me balancer, Je pourrais le faire pendant des heures. Je me balance et je met mes pieds face au ciel. J'ai l'impression de le toucher pendant une fraction de seconde. Ensuite j'ai cette sensation de tombé par en arrière.Et quand la balançoire me balance suffisamment haut. Je ferme mes yeux et j'imagine que je suis sur un nuage. J'imagine maman et papa qui me pousse sur le dos pour que j'aille encore plus haut. Je les imagine rire parce que le son de mon rire ressemble au son d'une petite souris.
C'est a ce moment précis que je commence a chanter :
Alors tu vois comme tout se mêle et du c½ur a tes lèvre je deviens un casse-tête. Ton rire me cri de te lâcher avant de perde prise et d'abandonné. car je ne t'en demanderai jamais autant, déjà que tu me traite comme un grand enfant. et nous n'avons plus rien a risqué a part nos vie qu'on laisse de coter...
Une de mes larmes coulent. Une seule, qui vaux tout mes moments de tristesse ou je n'avais pas le droit de pleurer. Ceux ou je devais montrer que j'étais forte. Alors qu'en réalité, je n'avais plus de force depuis longtemps.


Alors, comment vous trouver ?
Quelques choses est mauvais ?
Je continue (: ?

Comme des enfants- Coeur de pirate.
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#Posté le mardi 23 février 2010 20:10

Modifié le jeudi 04 mars 2010 14:24

Chapitre 4.

Il faut être fort dans la vie. Ne jamais pleurer devant d'autre et si ta le malheur de trop te réjouir, d'être trop heureuse, cette vie deviens affreusement dur a supporter. Je le sais plus que n'importe qui d'autre. Je suis plus grande mentalement que tout ses adultes dépressif. Pourtant, je ne suis qu'une enfant de 10 ans. Pourquoi dieu me laisse seule, alors que moi, je prie pour lui chaque soir ?

Je suis rentrer chez mon oncle. J'en avais marre de me balancer. Le monstre regarde la télévision, je n'ose pas l'interrompre. Il pourrait me faire du mal. Émily n'est toujours pas entrer. Ma-t-elle, abandonné? Non, elle ne ferait pas ça, voyons. Ce n'est pas possible ! J'ai si peur, je suis seule avec lui. J'espère qu'elle reviendra avant que son émission termine. Il pourrait avoir envie de... Vous savez, quand un loup a très faim, il fonce sur sa proie a pleine dent. Mais, est-ce que les loups mange aussi quant ils ne sont pas affamé ? Je ne veux pas perdre ma virginité, pas maintenant. Je m'en vais, je vais m'enfuir par le toit et j'irais dormir dans le parc a la pleine étoile. Ça doit surement être mieux qu'ici, mais si Émily entre, elle sera seule et c'est moi qui l'aurait abandonné. En plus, je ne saurai pas quoi faire le lendemain, je doit me nourrir et me changer! Je n'ai pas d'autre choix que d'attendre. Je monte les escaliers et je vais dans la chambre de ma s½ur. Pour mon occupation, je vais faire un peu de ménage. Il y a du sang sécher partout. Je vais nettoyer cela. Je redescend chercher des produits pour bien laver le plancher, les murs et les vitres. Je prend le ballait en montant. Ensuite je prend la salle de bain du haut et je remplit un sceau de 'Hertel et d'eau. Je nettoierais le plancher avec ça et la serpillière. Je commence le ménage en chantant, sa sera moins ennuyant.


Côte contre côte nos corps vibrent par temps
Et dans cette course sans dérive
On tombe presque hors-champ
Et dans tes rires qui défoncent
Plus que l'ego qui te prend
Tu nous réduis à l'impossible dans tes tourments.
Et sans gêne tu te défonce, tu ne comprend pas que tu détruis une belle histoire, je ne le nierai pas.
Parcontre nos crient défonce les murs de ton appartement pour atteindre l'amour qui meure un peu plus a chaque instant...


J'entends du bruit par la fenêtre. C'est ma s½ur ? Je regarde dehors et ce que je vois c'est de l'espoir, de la peur et de l'incompréhension. Il y a des policiers dehors. Ils sont avec Émily, et se dirige chez nous. Elle a tout rapporter a la police ? Oh non, j'espère que je n'ai pas détruis trop de preuve avec mon ménage ! Il reste plusieurs tache de sang sécher sur les murs et le draps en sont remplit. Avec de la chance, il trouverons des spermatozoïdes ! Sa fera comme dans Csi Miami. Nous sommes sauver!
Pourquoi nous n'avons pas rapporter tout au policier avant ? Parce que nous n'avions pas assez de preuve et on ne voulait pas qu'on nous sépare dans des familles inconnues. Mais maintenant, Émy est assez grande pour rester avec moi, je crois.

Je descend les escalier en vitesse pour écouter la conversation des policiers.

- Bonjours monsieur, vous êtes celui qui s'occupe de cette jeune fille ?

- Oui, je suis son oncle.

Il y a une touche de stresse dans sa voie. De colère aussi. C'est bien fait pour lui, après tout, il l'a chercher!

- Eh bien, figurez vous qu'elle s'amuse a casser les vitres des voitures avec ses amies.

Quoi ? Alors, c'est pour cela qu'il sont ici, pour punir Émily. Je venais de recevoir un coups de point de la vie tellement douloureux que mes larmes se sont mit a sortir. Elle va être punis monsieur le policier, oh oui, vous ne savez pas a qu'elle point ma s½ur sera punis.

- Ah oui ? l'adolescence, c'est bien a ce moment que nous testons les limites ! Pardonnez cette petite stupidité a Émily, elle ne recommencera plus. Ça, je peux vous l'assurer.

Sa voie n'avais rien d'une personne inquiète, s'étais la voix d'un homme satisfait et quant il a prononcer le mot assurer, sa sonnais comme une menace. Le sang coulera des larmes d'Émily ce soir.

- Demande pardon a ces messieurs Émily. Tu as fait une grande bêtise!

Émily regarde mon oncle avec un air menaçant, comme si elle allait bientôt le tuer. D'ailleurs, je ne serais pas étonné si elle me disait que son v½ux le plus chère soit de voir la tête du monstre exploser.
Les yeux de ma s½ur son rouge de colère, un sourire se forme sur ses lèvres. Et elle crache sur la face du loup. Elle commence a rire. Je ne peu pas m'empêcher de rire aussi. Mon oncle se tourne vers moi, il est enragé. Je vais passé une nuit horrible aussi.
Il essuie la bave de ma soeur avec un mouchoir.

- Pardonnez moi messieurs les policiers, mais je crois bien qu'Émily doit être punis. Maintenant si vous voulez bien partir pour que je puisse lui apprendre la politesse.

- Oui Monsieur Franklin. Nous partons.

- Merci de m'avoir prévenue, venez donc prendre un café avec moi un jour!

-Ha ha, bien sur avec plaisir! Sur ce, au revoir.

-Oui, au revoir.

Les policiers partent lentement. Le monstre s'assure qu'il parte pour ne pas qu'ils soient témoins de notre future nuit d'horreur.
Émily se tourne vers moi et commence a courir. Elle me prend par le bras et m'emmène en haut.
Le monstre commence a crié.
- Petites sottes ! Vous êtes dans ma maison, même si vous vous cacher, je vous trouverais!

Arriver en haut nous allons dans ma chambre en courant.

- Steph, écoute, on vas sortir d'ici.

Elle prend ma bat de baseball que j'utilisais quant j'etais plus jeune. C'est mon pere qui me la offerte, je la garde en souvenir. Apparament, elle sert aussi d'arme. Nous courrons dans la salle de bains qui se situe tout pres des escalier. On se cache derriere le mur a coter de cette salle pour ne pas que le loup nous vois en avance. Le coups qu'Emily veut lui donner sera par surprise. Elle met son index sur sa bouche, certainement pour me dire de ne pas faire un bruit. Elle prepare sa position de jeu. Ses jambes sont plier et ses main serre la bat de baseball. Elle garde quant meme une bonne souplesse des poignets pour bien pouvoir controler son arme. Son expression est tres forte, elle a confiance en elle. Ma soeur degage une energie etonante, de la rage, de l'espoir et surtout beaucoup d'assurance. J'aimerais etre aussi forte qu'elle. Emy n'a jamais peur de rien et moi, j'ai peur de tout. Je tremble alors qu'elle, elle sourit. Je suis jalouse, je dois l'avouer, peut-etre bien qu'un jour, je serais aussi forte qu'elle.

- Les filles, je vien de prendre des menotes, vous allez y passer toute les deux ce soir.
Il parle du bas des escaliers, il ne monte pas.

- Allez, descender, j'ai hate moi!
Il s'impatiente, le monstre montera bientot. Je ne dois pas faire un bruit.

- Je vais vous attacher ensemble avec les menotes, vous desabiller et stephanie, tu perderas quelque chose ce soir.
Oh non, je suis trop jeune, beaucoup trop.

-bon, je vien vous chercher par la force alors !
Emily serre encore plus fort la bat de baseball.

Sa y est, il monte doucement mais assez pour que l'ont puissent entendre ses pas et evaluer la distance qui nous separe de lui. Dans quelques secondes, Ma soeur passe a l'attaque, je dois me preparer, sa se passera rapidement.
Il est a deux marches, maintenant une et...

Emy prend un elan et frappe le monstre en plein visage. Elle criait en frappant parcequ'elle a profiter de ce moment pour se defouler. Le loup a gemi lui. Il a une main sur le coin gauche de sa tete. Ma soeur le frappe une deuxieme fois sur le coin gauche du ventre. Il a mal, son expression le montre tres bien, mais sa ne l'empeche pas de prendre mon pied. Il sort son couteau de sa poche en meme temps. Mais Emy a eu le bon reflexe de lui donner un coups de pied sur le visage. Elle me prend par la main et me jette dans les escaliers. Je deboule des escalier, une marche par une. Le visage a ete frapper par la rampe. Assez douloureux. Je revins a mes esprits et je realise que le coups a ete plus fort que prevu, mon nez semble casser. C'est tellement douloureux. Mais le plus pire dans tout cela, c'est que le sang coule comme une fontaine d'eau. C'est horrible. Je suis paralyser, je n'ose pas essuyer mon nez, il continue de couler. Je regarde vers le haut des escaliers et j'entend ma soeur se debattre. Je dois lui venir en aide au plus vite. Une adolescante contre un homme c'est de la triche. Elle crit, il a surement du la mutiler.
Je cours pour monter les escalier et je me rend compte que je me suis fait une petite entorse mais je peux marcher. Je prend le vase en vitre qui est situer dans la salle de bain. Je cour dans la chambre d'emily. Je les vois, lui, le sang de ma soeur et elle meme. Je suis enrager, epuiser de la vie. Pourquoi moi dieu ? Me detestes tu ? J'en sais rien, mais l'enfer ne doit pas etre plus difficile que ma vie donc. Je tuerais mon oncle si j'en ais l'occasion. Pardonne moi.

Je cours avec le vase entre les mains et je le frape avec rigueur et rage sur la tete. Il se casse et le loup perd connaissance. Ma soeur me sourit. Elle est coucher en dessous du corp du loup. Il n'est pas mort certe, mais pendant son sommeil notre liberter nous seras rendue. Je lui rend son sourir.

- Tu es si courageuse stephanie, je t'aime.
Mon courage ma surpris. Je suis fier de moi et de ma soeur.

- C'est toi la plus courageuse, je t'aime aussi.
Elle sourit, un sourire maternel. Une chance qu'elle existe seigneur, que ferais-je sans elle ?

- Allez ce n'est pas terminer, il nous poursuivras, on dois allez loin pendant un certain temps.

- Ou irons nous ?

- Je te le dirais dehors, depeche toi, avant qu'il se reveil, prepare les vetement, je cour chercher l'argent.

J'aquiesce et je fonce dans ma chambre. Je prend une valise qui est dans mon pacard, j'emplace les vetements a l'interieur en me depechant. Je ne prend pas la peine de choisir, je vide toute la moitier du bureau. Tres vite les vetements de moi et d'Emily se retrouve dans ma valise. Ensuite, je prend le coffre a bijoux de maman, la photo de la famille avant l'accident et le parfum de papa. Je cour dans la salle de bain avec la valise, je prend un shampoind et du savon, ainsi que nos brosse a dent. Je redescend les escaliers avec difficulter, mon entorse est de plus en plus douloureuse. Mon nez a cesser de couler de sang, c'est deja sa.

Emily a une valise elle aussi et... Deux couteaux a la main.

- Pourquoi des couteaux ? On n'est pas des meurtrieres !
Elle rit, pourtant je ne vois pas dutout ce qu'il y a de drole dans tout sa !

- Mais tu ecoute trop de film toi ! C'est utile d'avoir un couteau sur soit.

- Je te rapelle que c'est illegale de se promener avec une arme blanche !

- On s'en fiche.
Ce qu'elle peut etre borner ! Enfin bref, on doit degerpire au plus vite, arme blanche ou pas.

On fonce vers la porte d'entrer. Elle me tend un des couteaux, je roule des yeux pour lui montrer ma frustration, je dois garder ma digniter tout de meme ! Premier pas dehors, l'air semble plus frais et agreable que d'habitude.

- On va ou Emy ?

- On va chez Cristina, on s'est organiser, c'est parent sont en voyage, nous partiron le jour. J'ai voler de l'argent et y a un train qui passe chaque aube pour porter de la marchandise, on grimpera dessus et bonjour la campagne !

La vie est dur, mais avec du courage et de l'espoir, elle est supportable. Je vous le dit, y a que les personnes forte qui arrive a survivre. Moi je m'accroche a dieu pour tout surmonter, et ma soeur elle n'a meme pas besoin de s'acrocher a rien. Elle aime la vie et se fou bien de tout. J'aimerais avoir sa force.
La lune est si belle ce soir.

- Allez steph, on recommence tout a zero cette fois.
Je lui souris.

- Allons y.


Critiquez a votre gout, soyez dure et franc, merci. (:
Alors, je continue ?

Coeur de pirate - Ensemble
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#Posté le vendredi 05 mars 2010 14:10

Modifié le samedi 06 mars 2010 22:58

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